Il peut sur deux caractères sexuels:
- les primaires : par exemple les organes génitaux
- les secondaires : ils sont morphologiques, physiologiques et comportementaux
Pseudanthias squamipinnis mâle
Notre Terre ne mérite pas vraiment son nom, le nom de Mer lui conviendrait mieux.
En effet, les mers et océans couvrent la majeure partie ( 70 % ) de notre planète. Leur profondeur est en moyenne de 4 000 mètres, avec une profondeur maximale de 11 000 mètres. Ces dimensions en font le plus grand habitat de notre planète, bien plus important que les forêts tropicales. Paradoxalement, les animaux qui vivent dans les eaux des profondeurs sont très peu connus. En fait, ces eaux sont difficilement accessibles, et des moyens techniques particuliers sont nécessaires pour étudier les grands fonds.
On peut donc se demander si il y a bien une vie dans les profondeurs abyssales. Et si oui, comment vivent-ils malgré des conditions de vie extrêmes ?
Les échinodermes sont les seuls membres du règne animal à présenter une symétrie d’ordre cinq (ou pentaradiée). Ils possèdent, à l’exception des holothuries, un squelette, dont l’exemple le plus typique est la coquille (test) de l’oursin, et sont munis de « pieds » tubulaires pourvus de ventouses. Les échinodermes se déplacent lentement et ne manifestent pas de comportements particulièrement complexes.
Les stades larvaires de ce groupe ressemblent à ceux des hémicordés, ce qui suggère un lien avec les cordés. Cependant, au cours du développement ultérieur, la partie gauche du corps se développe aux dépends de la partie droite, bien que, parfois, une symétrie bilatérale puisse se superposer à la symétrie radiaire. Les échinodermes ont une grande faculté de régénération. C’est tout particulièrement le cas des étoiles de mer, qui, amputées d’un ou de plusieurs bras, les voient repousser.
Ce sont des organismes composites formés d'un champignon et d'une algue vivant en association symbiotique. Le champignon fournit une structure qui peut protéger l'algue contre le dessèchement et les conditions difficiles. L'algue synthétise et sécrète un hydrate de carbone spécifique, prélevé et utilisé comme nourriture par le champignon.
Les monts hydrothermaux, ou cheminées hydrothermales, ou fumeurs noirs, sont des évents hydrothermaux situés à proximité des dorsales océaniques. Ils sont une conséquence des mouvements des plaques tectoniques et évacuent une partie de la chaleur interne de la Terre. C'est en 1977 que les fumeurs noirs et la vie luxuriante qui leur est associée ont été découvertes par le submersible américain Alvin. Cet écosystème est basé sur une production primaire assurée par des bactéries chimiosynthétiques qui vivent libres ou en symbiose avec les organismes.
Il existe différentes structures hydrothermales :
- Un fumeur noir émet de l'eau sulfureuse ( sulfure métallique ) à très haute température ( 350 °C ). Le fluide ne subit pas de dilution par l'eau de mer avant l'émission.
- Un fumeur blanc se forme lorsque le fluide hydrothermal est dilué par l'eau de mer avant son émission. Il émet de l'eau contenant du baryum et du sulfate de calcium à des températures de 150 à 270 °C.
- Un fumeur transparent présente 20 % de sanilité mais ne contient pas de particules.
L'émission des fluides peut aussi ne pas contenir d'édifices.
Les fumeurs, et tout particulièrement les fumeurs noirs, représentent de véritables oasis de vies au fond des océans. Des organismes se sont adaptés pour exploiter la chaleur et le soufre émis par ces sources hydrothermales.
Qui est relatif au milieu marin, loin des côtes, en haute mer.
Un Photocyte est une cellule qui se spécialise en catalysant des enzymes (luciférase) pour produire la lumière (bioluminescence).
Ces photocytes sont présents dans les organes des animaux qui sont destinés à produire de la lumière : les photophores.
On distingue 6 types de plastes, interconvertibles entre eux :
- les proplastes, ou plastes non différenciés.
- les chloroplastes, où a lieu la photosynthèse; ils contiennent de la chlorophylle.
- les chromoplastes, ils contiennent des pigments autres que la chlorophylle : les caroténoïdes.
- les leucoplastes, sans pigments, servant au stockage de protéines.
- les amyloplastes servent au stockage des grains d'amidon.
- les étioplastes, chez les plantes qui manquent de lumière.
Un plaste peut changer de type. C'est le processus d'interconversion plastidiale. Par exemple, un leucoplaste de pommes de terre peut se transformer en chloroplaste à la lumière; un chloroplaste de citron devient chromoplaste au cours de la maturation du fruit.
La plupart des espèces vivent dans un milieu aquatique, océan, lac, rivière, étang. Leur longueur varie entre 2 et 70 microns. Les protozoaires se nourrissent en ingérant des bactéries, des déchets excrétés par d'autres organismes, des algues ou d'autres protozoaires. La plupart des espèces sont mobiles, grâce à des prolongements (les flagelles) ou à des organes ressemblant à des poils (les cils) ou encore par déplacement amiboïde, mouvement continu reposant sur la formation de pseudopodes (extensions en forme de pied).
La reproduction asexuée est également appelée reproduction (ou multiplication) végétative, car elle met en jeu des cellules non spécialisées de l’organisme, dites végétatives (ou somatiques), qui se divisent par mitose (et non par méiose comme les gamètes). À la différence de la reproduction sexuée, facteur important de variation génétique, la reproduction asexuée engendre des individus génétiquement identiques, ou clones.
Chez une petite proportion d’espèces (notamment les champignons dits imparfaits), la reproduction asexuée est le seul mode de reproduction connu mais, dans la plupart de ces cas, on pense qu’elle coexiste avec un mode de reproduction sexuée devenu inopérant ou non encore identifié. Répandue dans l’ensemble du règne végétal et dans celui des protistes, la reproduction asexuée ne concerne, parmi les animaux, que des représentants du groupe des invertébrés.